Chacun participe et doit mettre la main à la pâte, pour un gain à la sortie puisque les produits sont moins chers qu'ailleurs. Les produits, souvent bio, sont achetés le plus souvent possible directement auprès du producteur, afin de limiter les coûts. Les produits sont en effet revendu au prix d'achat, aucune marge n'étant réalisée.

Une épicerie solidaire, à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis.
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© France 3 Paris IDF
Participation en fonction des moyens
Les magasins solidaires ont de plus en plus le vent en poupe. La région parisienne en compte plusieurs dizaines. De la simple épicerie au supermarché autogéré, comme La Louve, dans le 18ème arrondissement.A Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, il y a ainsi déjà deux épiceries coopératives et bientôt une troisième ouvrira ses portes. Ouverte il y a un an et demi, la DionyCoop compte à ce jour 380 coopérants.