Il faut soigner les blessures physiques et psychologiques. Des proches des victimes, des riverains se présentent spontanément dans les cellules psychologiques mises en place dans la capitale.
Depuis vendredi soir le soutien psychologique s'organise. Plusieurs cellules ont été mises en place dans les hôpitaux et à la mairie du 11ème arrondissement. Les consultations ne désemplissent pas et continuent de recevoir des personnes choquées. Beaucoup ont besoin d'exprimer leur effroi, leur incompréhension, leur peur, auprès de professionnels formés à la gestion de crise.
>> Voir le reportage de Frédérique Hovasse et Yves Dewulf à la mairie du 11ème arrondissement.