Cela commence souvent avec une photo jaunie. La recherche de ses ancêtres est devenue un sport national, aidée par la numérisation de nombreuses archives. Comment se lancer ? Quelques astuces avec Olivier Quentin.
Votre arbre généalogique le temps d'une vidéo
Qui étaient mes ancêtres ?
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Qui étaient-ils ? Héros ou bourreaux, bons ou méchants, artistes ou petits fonctionnaires, résistants ou collabos ? Nous sommes de plus en plus nombreux à nous poser la question dans une époque, où l'art de se raconter ou de conter sa propre histoire est une valeur valorisée. À l'heure du Story Telling à tous les étages, la petite histoire de famille semble le ciment capable de transcender les différences générationelles. Les outils de recherche sont aujourd'hui à la portée de tous. Internet et numérisation des états civils, des registres paroissiaux ou notariés accélèrent le phénomène.
Quelques conseils pour commencer
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Sur le blog "entre nous et nos ancêtres", quelques conseils avisés métamorphosent le néophyte en détective des archives. À priori, en faisant preuve de rigueur et de méthodes, en quelques clics via un bon moteur de recherche, nous n'avons aucune difficulté pour trouver nos aïeux jusqu'à la révolution. Mais attention le doute doit toujours rester à l'esprit.
Sur Internet, les erreurs dans les généalogies en ligne sont courantes (une simple erreur de saisie est vite venue, une petite étourderie… l’erreur est humaine, et parfois, l’informatique aussi « bugge »), certains généalogistes ont pris l’habitude d’indiquer des dates fictives, « repères », pour leurs ancêtres les plus anciens, et on trouve aussi des généalogies de complaisance, aux belles ascendances plutôt douteuses…
Alors, prenez toutes ces informations avec circonspection, questionnez-les. Sont-elles plausibles ? Semblent-elles fiables ? La source est-elle indiquée ?
