Yannick Riot a déjà 70 printemps mais ne croyez pas qu'il manquerait un triathlon, et surtout pas celui de La Baule.
25 ans qu'il foule le remblai et il compte bien continuer ! Rencontre en quatre questions.
L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter.
Notre politique de confidentialité
Quelles sensations sur le distance S ?
La natation était un peu houleuse, ça tapait un peu dans le groupe, on est nombreux, mais c'est la règle habituelle sur les Triathlons. Depuis 25 ans, je les ai tous couru à part une année où j'étais à Luxembourg et une où ça avait été annulé.
Chez vous, c'est une affaire de famille ?
On adore courir en famille ! Hier, on a fait la fête et aujourd'hui, les petits enfants viennent de courir, c'est super ! Tristan, le plus jeune a 8 ans. C'est une belle manière de fêter mes 70 ans non ?
Vous participez l'an prochain ?
Si mes genoux tiennent oui ! J'ai très envie mais à 70 ans, on ne commande pas tout...
Le Triathlon de la Baule, ça vous évoque quoi en particulier ?
Le triathlon de La Baule pour moi, c'est d'abord la fête, oui le coté festif. Les étudiants donnent une ambiance à ce triathlon, qu'on ne trouve pas ailleurs. C'est ce que je recherche dans le triathlon, une ambiance bon enfant, s'amuser, rigoler...