Le Croisic en Loire-Atlantique a connu ses heures de gloire au temps du développement du commerce du sel de Guérande puis de la pêche à la sardine.
C'est un port au bout du monde, un trait d'union entre le traict petite mer intérieure qui borde les marais salants et l'océan.Un port protégé par une digue en granit longue de 900 mètres.
Des îlots et une succession de petits bassins, le port du Croisic a été patiemment façonné par l'homme en fonction de ses besoins économiques et du développement du commerce de l'or blanc.
Le sel puis la sardine au 19ème siècle feront la fortune du Croisic. Les maisons de négociants et d'armateur se construisent sur les quais. Les quatre conserveries ont disparu mais pas l'ancienne criée.
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Reportage : Myriam N'Guenor, Christophe François, Paul Evrad et Valérie Brut