Viols : la réponse de l'avocate nantaise Anne Bouillon à Catherine Millet

Non, il n'existe pas de liberté "d'importuner les femmes". L'avocate nantaise répond à l'écrivaine Catherine Millet qui a défendu dans les colonnes du quotidien Le Monde le "droit d'importuner les femmes" par les hommes. Anne Bouillon lui répond dans les colonnes du quotidien Ouest France.   

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Parmi les questions posées par l'avocat nantaise dans sa lettre : 
"Mais pourquoi n’adressez-vous aucune injonction du même ordre aux agresseurs ? Fussent-ils de simples frotteurs de fesses égarées dans le métro ?"


et Anne Bouillon de proposer
"Chère Catherine, faisons la paix, je ne suis pas votre adversaire et je vous lance une invitation. Chiche ! Sérieusement ! Venez faire un tour dans mon monde. Venez entendre ces femmes pour lesquelles la domination masculine au foyer, au travail, dans les transports, dans la rue, n’a rien d’un fantasme érotique."

La tribune complète est à lire ici 
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