Thomas Pesquet partage une photo des Sables-d'Olonne depuis l'espace avant de rentrer sur Terre

Une nouvelle photographie postée par Thomas Pesquet met à l'honneur la ville des Sables-d'Olonne en Vendée. L'astronaute en profite pour rendre hommage au Vendée Globe et aux navigateurs et navigatrices.

Fin de voyage pour Thomas Pesquet. Avant de remettre les pieds sur Terre lundi "pas plus tôt" que 13h14 selon la NASA, l'astronaute normand a posté sur Twitter un nouveau cliché de son deuxième séjour dans la station spatiale internationale (ISS). Son compte est suivi par 1,3 million d'abonnés. 

Vue de l'espace, la ville des Sables-d'Olonne. L'occasion pour l'astronaute de faire un clin d'œil à tous les navigateurs : "des vrais aventuriers"

L'aventurier de l'espace a, lui,  décliné le message en français et en anglais pour en faire profiter à des personnes du monde entier. 

De nombreux internautes ont réagi, enthousiastes. "Merci Thomas pour toutes ces magnifiques photos que tu nous auras partagées pendant ta mission. Bon retour sur Terre", tweete Michèle (@Mimie010195). "Une jolie ville ! On voit bien Port Olona, le Remblai" répond Nora News (@NoraUpNew).

 

Thomas Pesquet n'en est pas à son premier cliché dans la région Pays de la Loire. Le 19 septembre, il a posté des photos de villes au fil de la Loire, dont Nantes et Saint-Nazaire.  

Il y a quelques jours, il a aussi partagé une photographie de la façade ouest de la France :

La photo des Sables-d'Olonne sera sans doute la dernière de ce périple spatial. "La mission se termine et ça a été un vrai plaisir de la partager en photo avec celles et ceux qui voulaient découvrir le monde des missions spatiales", confie sur Twitter Thomas Pesquet, bientôt de retour sur Terre. Une planète qu'il observe, mais qu'il souhaite aussi protéger. 

Jeudi 4 novembre, l'astronaute a décrit à Emmanuel Macron les dégâts climatiques qu'il a pu observer depuis l'espace. "On voit la pollution des rivières, la pollution atmosphérique. Ce qui m'a vraiment choqué pendant cette mission c'était les phénomènes météorologiques et climatique extrêmes. (...) On voyait des régions entières qui brûlaient, au Canada, en Californie, dans le sud de la France, en Grèce (...)", a-t-il raconté au président alors que la COP 26 se tient en ce moment à Glasgow. 

 

 

 

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