A 30 ans, Sophie Choblet est éleveuse de bovins à La Garnache (Vendée). Son créneau, c’est la vente directe. Maxime Gautreau, 24 ans est producteur de semences. Chaque jour, il partage son quotidien avec ses 2 500 abonnés sur Twitter. Rencontre avec ces deux jeunes agriculteurs connectés.
Qui a dit qu’agriculteur était un métier solitaire ? Sûrement pas Maxime Gautreau. Le jeune exploitant de 24 ans, installé depuis deux ans à Thiré, dans le Sud-Vendée, est suivi par 2 500 personnes sur Twitter.
Chaque jour, il poste photos et vidéos sur le réseau social, pour mieux faire connaître son métier. « L’enjeu, c’est de montrer que tout n’est pas noir, tout n’est pas mal et que l’agriculture n’est plus la même qu’il y a 40 ans ». Pour maxime c'est aussi une bonne façon pour échanger et partager les techniques entre les agriculteurs d’autres régions de France.
Sophie Choblet aussi, a à cœur de partager sa passion, mais elle, avec les consommateurs. Eleveuse de bovins à La Garnache (Vendée), elle a fait le choix de la vente directe. Trois fois par semaine, elle se rend sur les marchés pour écouler sa viande. Pas d’intermédiaire donc, un moyen de pouvoir échanger directement avec les clients sur sa manière de produire.
Comme Maxime Gautreau, elle a conscience que les réseaux sociaux font maintenant partie intégrante de son métier. Sur ses pages Facebook ou sur son site internet, elle communique sur sa présence sur les marchés et fait la promotion de ses produits. Pour une grande partie, ses commandes lui sont faites via les réseaux sociaux.
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