Fondation Vasarely : le feuilleton judiciaire se poursuit

Une semaine après une décision de justice visant à rapatrier 200 oeuvres du peintre Victor Vasarely emportés aux Etats Unis par la belle-fille du peintre, cette dernière revendique "ses droits et sa propriété" sur ces tableaux. Une affaire actée par une juridiction de l'Illinois (Etats Unis).

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La belle-fille du peintre Victor Vasarely (Vasarhelyi de son vrai nom), Michèle Taburno-Vasarhelyi, a indiqué mardi qu'une juridiction de l'Illinois (Etats-Unis) avait en 2012 "acté définitivement ses droits et sa propriété sur plus de deux cents oeuvres" de l'artiste d'origine hongroise décédé en 1997.
La semaine dernière, le Tribunal de Grande Instance de Paris avait transmis aux deux parties en litige, le petit fils de l'artiste Pierre (aujourd'hui à la tête de la fondation Vasarely créée en 1971) et Michèle Taburno (seconde épouse de Jean-Pierre Vasarhelyi , l'un des fils du plasticien décédé en 2002), une décision datée du 31 décembre, ordonnant le retour en France de ces quelque 200 oeuvres de Vasarely emportés au Etats-Unis par la belle-fille.
Dans un communiqué de presse transmis à l'AFP par son avocate, Me Virginie Lapp, Michèle Taburno indique que la décision de la juridiction fédérale américaine "avait écarté les prétentions de Pierre Vasarely".
Pour l'avocat de Pierre Vasarhelyi, Me Pierre Lacan, les deux décisions "n'ont pas le même objet et n'ont pas été rendues dans le même cadre".
En France, deux autres procédures sont en cours dans le cadre de cette succession.
L'une devant la cour d'appel de Paris vise à annuler une procédure arbitrale (justiceprivée) de 1995 par laquelle quelque 400 oeuvres ont été retirées de la fondation
Vasarely. Une autre procédure est à l'instruction à Paris pour abus de confiance et recel.

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