Jusqu'au 8 juillet, la 23e édition du Festival de Marseille met le vivre-ensemble au coeur de ses représentations. Ce vendredi soir, "Kirina", du Burkinabé Serge Aimé Coulibaly, évoque la nécessité de la migration.
Ce vendredi soir, sur le grand plateau de la Friche de la Belle de Mai, neuf danseurs, six musiciens, un parolier et quarante figurants marseillais incarnent le récit d’un peuple qui marche vers son avenir. "Kirina", présentée au Festival de Marseille, c'est la dernière création du chorégraphe burkinabé Serge Aimé Coulibaly. C'est aussi et d'abord, une grande bataille fondatrice de l'Afrique de l'ouest, au 13e siècle.
Reportage de Mélanie Frey et Roger Gasc: