Le 29 janvier, Jean-Pierre Rivère annonçait une modification de l'actionnariat de l'OGC Nice avec l'arrivée d'Edward Blackmore, un Anglais adossé à un partenaire saoudien. D'après L'Equipe, l'ancien ministre Eric Besson, aurait joué l'intermédiaire. une affirmation qu'il a confirmé à demi-mot.
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Par SMS, Eric Besson a répondu au quotidien sportif. "Du fait de mon boulot, j’ai renoncé à être un jour président de club. Mais quelques présidents me demandent parfois de les aider à rencontrer des investisseurs, ce qu’on appelle de l’intermédiation. Parfois je les fais donc se rencontrer et ensuite, la partie m’échappe, ils font affaire … ou non. La contrepartie, c’est le silence absolu". L'ancien ministre s'était déjà intéressé à l'OGC Nice en 2011 avant de regarder du côté de Nantes, puis du Havre, sans réussite.
Un homme d'affaires anglais et un prince saoudien
L'homme d'affaires anglais Edward Blackmore, associé à un prince saoudien tenant pour l'instant à l'anonymat, ont racheté les 49% de parts détenus par le groupe historique des Niçois, MM. Stellardo, Governatori, Bessis et Bacchialoni dans la SASP OGC Nice. L'opération, qui ne fera pas changer le club azuréen actuel 3e de Ligue 1 de surface financière, est destiné a "soutenir le projet développé depuis quelques années par l'équipe dirigeante en place qui le restera y compris dans la seconde phase du processus".