Après la déroute contre Nîmes, 3 à 1, L'olympique de Marseille veut se racheter, dimanche soir, devant son public face à Rennes.
Après un 4-0 contre Toulouse, pour l'ouverture de la saison, l'OM a chuté lors du second match de championnat face à Nîmes 3 à 1 . Ce dimanche, à domicile, face aux Rennais, après cet accroc nîmois, les marseillais souhaitent se racheter avec un mot clef, pour cette rencontre de la 3e journée de Ligue 1: "l'agressivité".
Hier vendredi, à la commanderie, en conférence de presse Rudi Garcia, l'entraîneur de l'OM l'a martelé :
"A Nîmes, le match s'est résumé à un manque d'agressivité. Avec 11 joueurs différents et tous les systèmes de jeu du monde, on n'aurait pas pu gagner avec une telle absence de combat."
Nouveau faux-pas interdit, donc, pour l'OM: pour se relancer au classement, avec l'ambition de la qualification en Ligue des champions en ligne de mire mais aussi pour faire oublier une semaine pesante en coulisses : Transfert avorté de Mario Balotelli, qui a finalement choisi de rester à Nice, faux-départ de Clinton Njie au Sporting Lisbonne, procédure de licenciement engagée contre le latéral Henri Bedimo et blessures de Steve Mandanda et Bouna Sarr, deux des victimes olympiennes de la défaite à Nîmes. Seul point positif pour l'OM, la signature de l'ailier serbe Nemanja Radonjic.
Une victoire dimanche soir serait donc la bienvenue: mais les Rennais ont la mauvaise habitude de jouer les trouble-fête au Vélodrome, où ils se sont imposés 3-1 l'an passé, comme tous les deux ans depuis la saison 2011-2012. Avec en point d'orgue cette victoire éclatante 5-2 en 2016.
Le coach de l'OM Rudi Garcia, réaliste, a rajouté :
Interview de Rudi Garcia, entraîneur de l'OM, recueillie par Alban Poitevin"Rennes, c'est une bonne équipe, une très bonne équipe, même sans Khazri. Mais on veut gagner, il n'y a que ça qui nous intéresse".