La mine des mauvais jours pour Didier Deschamps après la défaite 0-1 face aux grecs...
La mine des mauvais jours, Didier Deschamps n'a pas apprécié cette nouvelle défaite de son équipe marseillaise, contre l'Olympiakos au Vélodrome en Ligue des Champions:
"J'ai horreur de la défaite, je n'ai pas envie de sourire ce soir. Il va falloir digérer et après on basculera sur ce qui nous attend dimanche." Dimanche, ce sera le PSG. Mais contre les Grecs, les Olympiens ont vécu "une grosse désillusion par rapport à l'importance de ce match."
- Vous vous compliquez la vie alors qu'un nul aurait suffi pour vous qualifier...
Didier Deschamps: "On aurait dû assurer l'essentiel ce soir. Même un match nul nous suffisait par rapport au résultat de Arsenal-Dortmund (2-1). Evidemment, c'est une grosse désillusion par rapport à l'importance de ce match. En prenant ce but, il suffisait d'en marquer un et le match nul suffisait, même si on ne pouvait pas entrer sur le terrain en visant le match nul car je ne voulais pas, en commençant le match, que mes joueurs jouent petit bras. Malheureusement, la performance collective a été insuffisante par rapport à l'enjeu de ce match."
- Comment expliquez-vous ce résultat ? Est-ce par manque d'engagement ?
DD: "On a eu du mal à peser offensivement par manque de mobilité et de simplicité. On ne s'est pas créé de situations dangereuses, je ne sais pas si on a eu une occasion en première période. Par rapport à l'enjeu, je le répète, la performance collective a été insuffisante. Je ne veux pas parler des performances individuelles. Tout est lié, on avait de la lenteur dans la transmission, collectivement, l'Olympiakos nous a été supérieur."
- C'est le deuxième revers en cinq jours, avant un autre match important dimanche contre le Paris SG...
DD: "C'est une très mauvaise semaine, mais on a un autre match dimanche. Mais, pour le moment, je n'ai pas envie de parler de ce qui nous attend. J'ai horreur de la défaite, je n'ai pas envie de sourire ce soir. Il va falloir digérer et après on basculera sur ce qui nous attend dimanche."