La présence chinoise en Algérie, devenue plus importante encore que les investisseurs français ; le portrait d’une Egyptienne engagée qui a vécu de près les soubresauts du « printemps arabe » et enfin une découverte de l’île de Port-Cros, un paradis formidablement préservé.
L’Algérie, nouvel Eldorado pour les appétits économique de la Chine
Dans son incessante expansion, la puissance chinoise cible de longue date l’Afrique. En Algérie, sa présence dépasse désormais les investisseurs français pourtant historiquement bien implantés. Ainsi dans le domaine de la construction, le gigantesque chantier de la grande mosquée d’Alger est principalement l’œuvre d’ouvriers venus de l’Empire du Milieu.
« Foulards et hymens », le combat d’une musulmane
Elle a été le témoin direct du « printemps arabe » en Egypte. Mona Eltahawy, journaliste égyptienne, élevée au Royaume-Uni puis en Arabie saoudite, naviguant aujourd’hui entre New York et Le Caire, était revenue en Egypte pour assister à la chute de Moubarak. Dans un livre, elle appelle désormais toutes les femmes du Moyen-Orient à faire leur propre révolution, notamment sexuelle.
L’île de Port-Cros : sept kilomètres carrés de paradis
Au cœur du Parc national marin qui porte son nom, l’île de Port-Cros (Var) est un authentique sanctuaire. Accessible seulement en bateau, interdite aux voitures et dotée d’une abondante végétation, l’île est remarquablement préservée. Loin du tourisme de masse, Port-Cros est faite pour les visiteurs soucieux de l’environnement autant sur terre que sous les flots.