Ces 29 activistes, dont une majorité d'étrangers, ont été relâchés mardi soir après une garde à vue entamée lundi. Ils ont tous été renvoyés devant le tribunal correctionnel de Valence le 12 septembre prochain pour "violation de domicile" et "dégradations en réunion".
L'un des militants de Greenpeace, qui a bousculé un gendarme venu le chercher, sera également poursuivi pour violence à l'encontre d'une personne dépositaire de l'autorité publique. Les 29 activistes étaient entrés lundi matin, à l'aube sur le site de la centrale nucléaire et avaient déployé des banderoles pour dénoncer des failles dans la sécurité.