TELEVISION. Trois bonnes raisons de regarder “Meurtres dans le Cantal” sur France 3

Samedi 2 décembre, à 21h10, France 3 diffusera un nouvel opus de sa collection à succès “Meurtres à”. Cette fois-ci, l’intrigue se déroule dans le Cantal. Voici trois bonnes raisons de regarder “Meurtres dans le Cantal”.

France 3 diffusera, samedi 2 décembre, à 21h10, le téléfilm "Meurtres dans le Cantal" réalisé par Sandrine Cohen. L’intrigue nous plongera dans une enquête au cœur du Cantal. Voici trois bonnes raisons de regarder cette fiction. 

1. Un décor naturel exceptionnel 

Pour le film, l’équipe de tournage a sillonné le département du Cantal, de Murat à Neussargues en passant par Allanche. Emmanuel Bezier, producteur de ce nouvel opus raconte : “On a été extraordinairement bien reçu. On a eu l’aide des habitants. C’était super au vu des conditions climatiques particulièrement rudes qu’on a eues”. Tourné durant le mois de novembre 2022, le film a dû s’adapter à la météo de la région. “On avait une ambiance hyper chaleureuse. En contraste, avec la dureté du climat mais qui justement participe à la réussite de l’histoire. Le film illustre parfaitement les difficultés climatiques qu’on a rencontrées”

2. Une intrigue sur fond de légendes locales 

Deux détectives sur les traces d’un dangereux meurtrier, sur fond de légendes et dans des paysages à couper le souffle, voilà le scénario haletant promis par le film. Le petit plus, selon le producteur ? Le lien étroit du film avec le territoire, et ce jusque dans l’écriture du scénario. Il explique : “L’une de nos scénaristes habite dans le département. Nos deux scénaristes sont allés sur place, dans le Cantal, pour écrire le scénario. Ce n’est absolument pas une histoire parachutée dans le Cantal par hasard. On s’est servi du lieu pour la dramaturgie du film. On n’aurait pas pu tourner ce film ailleurs que là-bas”. Et ce n’est pas tout. L’intrigue fait également un clin d'œil à une légende locale. Emmanuel Bezier explique : “On se base sur une légende du Cantal : le Drac. C’est un lutin malveillant qui pousse les gens à la malchance et qui engendre tout un tas de problèmes à autrui. Et le meurtrier s’inspire du Drac pour commettre ses crimes”

3. Un duo d’excellents acteurs 

Dans l'un des rôles principaux, on retrouve Alexandre Varga. Habitué à jouer les policiers, le comédien incarne cette fois-ci, Frédéric Dussaut, un gendarme tourmenté par le deuil de son fils, qui se retrouve plongé au cœur d'une épineuse enquête. Il donne la réplique à Joséphine Jobert. Elle prête ses traits à la jeune capitaine Sarah Waro. L’intrigue, le décor mais également les figurants sont 100% made in Cantal. Emmanuel Bezier conclut : “Si on devait refaire un tournage dans le Cantal, ce serait sans hésiter”. 

Voici un extrait du film : 

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France 3 diffusera, samedi 2 décembre, à 21h10, le téléfilm "Meurtres dans le Cantal" réalisé par Sandrine Cohen. ©Réalisation Sandrine Cohen. Scénario Marie-Luce David Pierre-Yves Lebert. Production Sombrero Fiction Emmanuel Bezier Alain Benguigui.

Le synopsis

L’histoire commence par la découverte d’un cadavre flottant dans un lac du Cézallier. C’est celui de Yann Privat, restaurateur réputé, mort empoisonné. L’homme était tricheur en affaires. Ainsi, les ennemis et donc les suspects ne manquent pas. Quand un deuxième chef est lui aussi victime d’un empoisonnement fatal, les deux gendarmes, Frédéric Dussaut et Sarah Waro, joués par Alexandre Varga et Joséphine Jobert, s’interrogent : la mort d’une restauratrice, quelques mois plus tôt, ne serait-elle pas, également, liée à cette affaire ? Ensemble, ils vont devoir résoudre l'enquête avant qu’un nouvel assassinat n’ait lieu, tout en se confrontant au deuil impossible de leur fils, survenu un an plus tôt, par accident à La Réunion.

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