Chasse : près de 250 chasseurs contrôlés dans le Cantal

Les gendarmes du Cantal ont contrôlé plus de 200 chasseurs en une semaine cet automne. L’occasion de rappeler les règles de sécurité et de relever quelques infractions, pour la sécurité de tous.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Durant la deuxième semaine d’octobre, des « opérations d’envergures centrées principalement sur la sécurité à la chasse » ont été organisées par l’Office Français de la Biodiversité et mises en place par la gendarmerie du Cantal, rapporte la préfecture dans un communiqué. Menés sur l’ensemble du département, les contrôles ont permis de contrôler 232 chasseurs et relever 9 infractions. Lors de ces rencontres auprès des chasseurs, les intervenants ont rappelé l’importance du respect des règles de sécurité édictées dans le schéma départemental de gestion cynégétique.

Près de 250 personnes contrôlées

Du samedi 5 octobre au dimanche 13 octobre 2024, « les contrôles ont été effectués sur plus de 80 communes, mobilisant 20 équipes composées de 35 inspecteurs de l’environnement du Cantal et de la brigade mobile d’intervention de l’OFB ainsi que 15 militaires de la gendarmerie nationale. » Le dispositif a permis de contrôler 22 battues aux grands gibiers, soit 211 chasseurs. Ont également été contrôlés 19 chasseurs aux petits gibiers et 2 au chamois.

Moins d’une dizaine d’infractions

Au total, 9 infractions de chasse ont été relevées, « dont 8 portaient sur la sécurité des chasseurs et des non-chasseurs ». En plus de « l’effet dissuasif des infractions relevées », les échanges ont été l’occasion de vulgariser les règles de sécurité à la chasse mais aussi celles qui concernent la circulation dans les espaces naturels. Ces contrôles ont été effectués dans un contexte particulier : la mort accidentelle d’une randonneuse deux ans plus tôt, à Cassaniouze, dans le Cantal. La victime a reçu une balle perdue dans la poitrine, lors d'une battue au sanglier. La chasseuse, qui avait 17 ans à l’époque des faits, a été condamnée à une peine d’un an de prison avec sursis mardi 8 octobre. 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information