Depuis 2009, Lyon a son grand prix international de piano. Une compétition qui attire désormais des interprètes du monde entier. La plupart des jeunes pianistes virtuoses sont aujourd'hui asiatiques. Sur 53 candidats, 30 sont Chinois, Japonais ou Coréens.
Ils s'affrontaient hier en demi-finale au Conservatoire de Lyon pour ravir le prix lyonnais.
Dans une chaleur difficile à supporter, qui entraîne des glissements de doigts sur les touches, le concours revêt, cette année, un caractère particulier.
Pour cette septième édition, ils sont une cinquantaine de jeunes pianistes à s'affronter du bout des doigts pour remporter le concours. Des interprètes venus du monde entier, déjà concertistes pour la plupart et qui en trois jours déploient tout leur art pour éblouir le jury.Le prix compte de plus en plus sur le plan international. Il s'installe et jouit désormais d'une réputation qui sert de véritable carte de visite aux candidats, surtout aux lauréats.
Reportage tout en doigté de Silvie Boschiero et Laure Crozat :