Depuis vendredi soir s'est ouvert à Genève le Festival International du film. Un plateau particuliérement relevé cette année, avec la présence du cinéaste français Tony Gatlif qui présentait "Djam", son dernier film.
Il est sans nul doute le réalisateur français qui a le mieux dépeint le monde gitan.
Tony Gatlif, le cinéaste nomade, le cinéaste des exils et des voyages, a posé sa valise à Genève. Il y présente son dernier film, l'histoire d'une jeune femme qui prend la route et la mer, entre Grèce et Turquie, entre deux mondes.
Une héroïne donc. Comme souvent, Tony Gatlif regarde ce monde à travers les yeux d'une femme. Une femme libre comme il devient parfois difficile de le rester autour de la Méditerranée.
Reportage Gilles Ragris, Franck Céroni, Clémentine Fayolle:
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Un festival tourné vers l'image et les nouvelles technologies
Dans ce festival, on attend aussi des inédits de grand cinéastes, des séries télés de tous pays et même des films créés pour s'immerger dans la réalité virtuelle. Image à 360 degrés, casque sur les yeux.
Ce tourbillon d'images est à déguster à Genève jusqu'au 11 novembre.