Le mouvement de grève a été interrompu après les attentats. Il reprend pour une « longue durée » afin de lutter contre l’austérité et le manque de moyens.
Les mouvements de grève se poursuivent depuis plusieurs années au centre hospitalier Guillaume Reigner, chargé de l’accueil de personnes ayant des problèmes psychiatriques.
Celui démarré le 10 novembre a été interrompu suite aux attentats. Il reprend ce mardi 17 novembre avec dès 10h30 un rassemblement dans la cour d’honneur du centre hospitalier.
Selon les syndicats Sud et CGT, c’est le résultat d’une « incapacité de la part de la direction à entamer un dialogue responsable ».
Des mesures d’économies, conjuguées à une baisse des financements octroyés par le ministère de la Santé, auront pour conséquence, selon les syndicats, la suppression « d’au minimum 23 postes de contractuels ».