La patiente, qui avait été contaminée par un nouveau variant de mpox et qui était hospitalisée à Rennes, n'est plus malade et ne présente plus de risque de contamination, a annoncé ce 28 janvier 2025, l'Agence régionale de santé (ARS) de Bretagne.
"La patiente se porte bien. Elle a repris son travail. L'isolement suite aux symptômes a été respecté et elle ne présente plus de risque de contamination", a indiqué à l'AFP le service communication de l'ARS Bretagne.
Cette patiente n'avait pas voyagé en Afrique centrale mais avait "toutefois été en contact avec deux personnes de retour d'Afrique centrale", avait précisé dans un communiqué le ministère de la Santé.
Un nouveau variant
Il ne s'agissait pas du clade 1 classique, présent depuis des décennies en Afrique, mais d'une variante, le clade 1b, beaucoup plus récemment identifiée en République démocratique du Congo (RDC).
Identifiée pour la première fois en RDC en 1970, la maladie est longtemps restée circonscrite à une dizaine de pays africains.
Mais en 2022, elle a commencé à s'étendre dans le reste du monde, notamment des pays développés où le virus n'avait jamais circulé.
Le mpox se caractérise par des lésions cutanées, comme des pustules, une forte fièvre et des douleurs musculaires.