L'entretien télévisé dimanche soir du chef de l'Etat sur BFM et Médiapart n'a pas manqué de faire réagir les élus de la région Centre-Val de Loire sur les réseaux sociaux.

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Près de trois heures face aux deux journalistes. Un entretien politique diffusé dimanche soir à la télévision. Depuis ce matin en  région Centre-Val de Loire les réactions vont bon train.

A commencer par la ministre et ancienne sénatrice du Loir et Cher, Jacqueline Gourault qui n'y va pas de main morte et s'adresse directement à nos confrères Edwy Plenel et Jean-Jacques Bourdin  en expliquant qu'ils ne se sont jamais adressé à Emmanuel Macron en l’appelant Monsieur le président de la République ! "Déni de démocratie et manque à la déontologie la plus élémentaire" selon la ministre.


Philippe Chalumeau, député En Marche sur la deuxième circonscription d'Indre-et-Loire vise lui aussi clairement les deux journalistes.
Mais heureusement selon le député le Président a su garder son sang-froid et a fait le choix de la pédagogie des transformations menées par le gouvernement.

Pas d'argent pour nos hôpitaux

Sur le fond le plus virulent à réagir sur twitter est le maire Les Républicains de Châteauroux, Gil Avérous.

Au cours de l'entretien télévisé le chef de l'Etat a affirmé que :

Les gens vont aux urgences car c’est moins cher ou plus simple que d’aller chez leur médecin.

Gil Avérous lui répond "Non Monsieur Macron, ici dans l’Indre c’est parce que les gens ne trouvent plus de médecins ‼️  Et l'élu Castelleroussin d'en remettre une couche et d'ironiser sur les propos du chef de l'Etat à propos de la situation à la sncf :  

«Je ne suis pas le père Noël a lancé Emmanuel Macron et nous sommes endettés. Mais " On reprendra la dette de la SNCF » poursuit t il.
Gil Avérous lui répond alors : "La constance et la logique sont à la tête de l’Etat! Pour la SNCF on trouve des milliards. Pas pour nos hôpitaux ou nos retraités"!

Enfin la députée en marche de la cinquième circonscription d'Indre-et-Loire Sabine Thillaye a choisit elle  de revenir sur la CSG évoquée par Emmanuel Macron et qui assume pleinement l'effort demandé aux seniors. La députée évoque un choix de solidarité intergénérationnel demandé à nos aînés avec, pour contrepartie, des baisses de cotisation sociales pour tous les salariés. L’objectif selon elle : rendre le travail plus rémunérateur en France.


 

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