Arrêté Miot - Le vrai du faux en cinq questions

Depuis le 1er janvier, les Corse doivent payer des droits de succession tout en bénéficiant d'un abattement à hauteur de 50%. Mais quel est cet "Arrêté Miot" souvent méconnu et caricaturé. Comment distinguer le vrai du faux ?

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Le 29 décembre 2012, le Conseil Constitutionnel a annulé la prorogation de l'Arrêté Miot du 10 juin 1801, supprimant du même coup "l'exonération" sur la transmission des biens immobiliers dans l'île.

Et premier préjugé: ce texte d'André-François Miot ne prévoyait pas "une exonération des droits de succession des bien immobiliers situés en Corse". Mais constatant la quasi inexistence d'actes enregistrés, la plupart des transactions se faisait sous seing privé, explique dans une note de 2010 sur la fiscalité des successions, Jean-François Profizi, de l'association France trait d'union Corse.

Du mythe à la réalité entourant l'Arrêté Miot, éléments de réponse en cinq questions:

 

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information