Selon le rapport de la commission Chaubon qu'examine ce 26 septembre l'assemblée de Corse, la démarche visant à obtenir la coofficialité serait grandement facilitée par une mention spécifique de la Corse dans la Constitution française
Si la langue corse fait aujourd'hui consensus, la lutte pour sa reconnaissance a été longue.
A partir du 26 septembre 2013, après le vote de l'assemblée de Corse, la balle sera dans le camp du gouvernement.