Après la main tendue par Emile Zuccarelli à François Tatti, le patron de la gauche insulaire, Paul Giacobbi, se défend d'intervenir, mais appelle au rassemblement au second tour.
Interrogé le 10 mars sur la "pulitichella" bastiaise, Paul Giacobbi, chef de file des Radicaux insulaires, ne fait pas mystère qu'il ne ferait pas siens les propos de Françis Riolacci sur l'idéologie présumée de la famille Simeoni.
En se défendant également d'intervenir dans les affaires et les polémiques bastiaises, le président de l'exécutif rappelle simplement les règles que la gauche a toujours eu l'habitude d'appliquer pour les seconds tours.
A noter que les deux derniers articles de Paul Giacobbi sur son blog sont consacrés, l'un à la Crimée et à la Mer Noire, l'autre au droit martitime international dont l'extension concernant l'archipel de Saint Pierre et Miquelon en Atlantique Nord est déniée par le Canada.