Le tribunal correctionnel de Marseille a demandé 18 mois de prison ferme ainsi que la révocation d'un sursis de six mois à l'encontre d'Olivier Miniconi. L'ancien président du Gazélec d'Ajaccio était jugé pour "travail dissimulé".
Vendredi 31 mars, Olivier Miniconi a comparu devant la sixième chambre du tribunal correctionnel de Marseille. L'ancien président du GFCA était jugé pour "travail dissimulé".
À son encontre, la procureure de la République a requis 18 mois de prison ferme (avec mandat de dépôt différé) et la révocation d'un sursis de six mois, ce qui porterait la peine à deux ans ferme.
Le ministère public a également demandé 20.000 euros d'amende.
Décision le 11 avril
Le 15 mars dernier, le tribunal correctionnel de Marseille avait condamné deux autres anciens présidents du GFCA pour recel d'abus de biens sociaux et travail dissimulé. Si Mathieu Messina-Arrighi a fait appel de cette décision, Christophe Ettori y a renoncé.
Le cas d'Olivier Miniconi avait été disjoint pour "raisons médicales" et renvoyé à ce vendredi 31 mars.
La décision le concernant a été mise en délibéré au 11 avril prochain à 8h30.
Le compte rendu d'audience de Marie-Françoise Stefani et Enzo Giugliano :