Entre le 15 et le 18 juillet, cinq murs friables ont été percés à coups de masse dans la crypte de la cathédrale de la Treille à Lille. Rien n'a été volé. Une enquête est ouverte.
Les faits se sont déroulés entre le 15 et 18 juillet. Des murs ont été percés à coups de masse. Cinq au total. Dans la crypte, fermée au public, de la cathédrale Notre-Dame de la Treille à Lille.
L'histoire est mystérieuse. Aucun préjudice n'a été constaté assure la police. "Il n'y a rien à voler" précise Bertrand Dumont Saint Priest, intendant de la cathédrale.
"Enquête à la Rouletabille"
Ce qui interroge davantage, c'est que les murs percés en question étaient situés à côté de portes. Moins faciles à défoncer qu'un mur à casser ? "Bizarre, il y a un petit côté d'une enquête à la Rouletabille dans ce fait divers" commente-t-on à la communication de l'Hôtel de Police de Lille.
Les trous percés l'ont été sur une hauteur d'environ 80 cm pour 60 cm de large, de quoi laisser passer un homme.
On en reste sur ce mystère. Une plainte a été déposée. Une enquête est en cours comme l'indique la Voix du Nord qui révèle l'information dans son édition du jour.