Le nouveau mode de scrutin, instauré par la loi du 18 mai, impose un redécoupage général des cantons: leur nombre sera divisé par deux et ils seront considérablement agrandis. D'où la crainte d'un bi-partisme qui excluerait les autres tendances.
Restera-t'-il des élus indépendants ou d'autres groupes que l'Ump ou le PS dans les futures assemblées départementales?
La question se pose, par exemple, dans l'Aisne où le Conseil Général compte à ce jour 5 groupes politiques différents.