Le CHRU de Lille est classé 2ème dans la palmarès des meilleurs hôpitaux de France, selon Le Point.
C'est la 19ème fois que Le Point publie son palmarès des hôpitaux et des cliniques. Ces dernières années, le CHRU de Lille est toujours dans les 3 premiers de classement. En 2015, il était même sur la première marche du podium. Cette fois, c'est le CHU de Bordeaux qui arrive premier. Lille est deuxième juste devant Toulouse.
Pour figurer au classement final de ce palmarès indépendant, un établissement doit fournir un service médical et chirurgical complet. Les établissements spécialisés en sont donc écartés, mais apparaissent dans les classements spécifiques (cancers, maladies infantiles...). Côté cliniques, le centre hospitalier privé Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine) remporte comme la palme pour la 7e année consécutive devant les Nouvelles Cliniques nantaises à Nantes (Loire-Atlantique) dans ce classement où le meilleur établissement de Paris intramuros, la clinique Geoffroy-Saint-Hilaire, apparait seulement à la 37e place.bravo aux professionnels des @CHUBordeaux 1er au palmarès @LePoint, au @CHRU_Lille 2eme et @CHUdeToulouse 3eme.
— CHU de Bordeaux (@CHUBordeaux) 24 août 2016
Les classements thématiques couvrent comme l'an dernier un large éventail de soins (varices, cancers, accidents vasculaires cérébraux-AVC, chirurgie de l'oeil - cataracte, myopie, rétine -, chirurgie de l'obésité, des artères, de la colonne vertébrale, urgences traumatologiques, traumatologie de la face, pédiatrie, pneumologie, maladies infectieuses, dépressions, schizophrénie et anorexie..).
Quels sont les meilleurs hôpitaux de France ? Présentation du #PalmarèsHC 2016 https://t.co/BJVosDPSlA @CHUBordeauxhttps://t.co/Qa5LKKpsQM
— Le Point (@LePoint) 24 août 2016
Le palmarès 2016 comporte également deux classements inédits, l'un sur les leucémies et l'autre sur les lymphomes. Plusieurs articles accompagnent comme chaque année le palmarès réalisé par François Malye et Jérôme Vincent, dont une enquête sur les erreurs médicamenteuses qui pourraient entraîner au moins 1.000 décès par an dans les hôpitaux français.