Dans une interview à La Voix des Sports, Michel Seydoux parle (un peu) de son ancien club. Celui qu'il a vendu il y a presque un an.
L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter.
Notre politique de confidentialité
L'ancien président du LOSC garde un oeil sur le club qu'il a dirigé pendant 16 ans. Un regard bienveillant et toujours proche. Il a suivi de près le début de saison compliqué, Bielsa, Lopez... Dans La Voix des Sports, ce lundi, il donne son avis. A sa façon, sans excès, mais avec quelques petites piques quand même.
Bielsa
Sur l'entraîneur argentin,
Michel Seydoux affirme clairement qu'il y a eu erreur et plaide d'ailleurs le droit à l'erreur pour Bielsa et Gérard Lopez, le nouveau président : "
On a le droit de se tromper dans la vie. Mais Bielsa aussi s’est trompé. Le projet était de bonne foi. Bielsa avait les clés du LOSC et ça, ça ne pouvait pas marcher. Quand on crée des secteurs cloisonnés dans une entreprise, elle ne peut pas survivre. C’est impossible." Il ajoute au passage qu'il s'endromait en ragardant les conférences de presse d"El loco" !
Lopez
Michel Seydoux soutient son successseur sans ambigüité, affirmant que "
c'est une bonne personne", qui connaît bien le foot. Il garde des contacts avec lui. Mais il ajoute une petite critique : "
Lors de cette crise, il fallait l’aider à analyser les choses et lui apporter des éléments. J’aurais aimé qu’il soit un peu plus le gérant du café. Après, c’est son choix et sa manière d’être. Quand il est là, c’est mieux. Il y a des conseils qu’il comprend sans qu’on lui explique."
Nouvelle vie
Michel Seydoux a gardé peu de contacts avec le monde du foot. Il parle dans cet interview de ses voyages, de sa vie plus calme et de son rêve : "
Je ne suis pas encore retourné dans un stade. Le premier dans lequel je me rendrai, ce sera le stade Pierre-Mauroy. Mais je ne sais pas quand. Je pense qu’il faut que la situation soit agréable. Je ne veux pas être pris à partie car je ne suis pas une roue de secours. Je rêve de suivre un match au milieu des DVE. C’est quelque chose que je n’ai jamais fait et j’aimerais aussi comprendre cela. Ça doit être un moment de partage fabuleux."