Deuxième édition du Grand Prix Strongman de Ham. 25 colosses d'Europe du Nord, de Suisse, de France et même de Côte d'Ivoire s'affrontent dans des épreuves de force et de puissance, comparables à la force athlétique mais en plus dynamique.
Ils sont baraqués, barbus ou tondus, ce sont les strongmen. Leur truc, c'est de déplacer les montagnes. Rien ne les effraie. Ils viennent de tous les coins du monde, comme Johan Liljeblad, un strongman suédois : "Petit, j'étais gros, maintenant je ne suis plus gros et un peu plus fort aussi".
L'âge ne compte pas. Grégory Morel a tout juste vingt ans et n'a pas peur de se mesurer aux anciens : "Je viens ici pour m'amuser et pour me dépenser un peu".
Le Grand Prix Strongman n'est pas réservé qu'aux hommes. Pour la première fois en France, une épreuve était organisée pour les femmes. Parmi elles, Amandine Malrieu, ongles sur les mains, est venue en famille. Cette fois, c'est le mari qui regarde et la femme qui transpire.