Journal de la Méditerranée : le Maroc, arrière-cour industrielle de la France ?

Au sommaire du "JDM" de ce samedi 21 mai : si la France industrielle va peut-être mieux c’est aussi grâce à son commerce extérieur ; de plus en plus de juifs de France partent en Israël faire leur "Alya" et découverte de la vie cannoise pendant le festival.

Maroc : eldorado des entreprises françaises

Si l’Allemagne peut s’appuyer sur la sous-traitance de ses usines en Europe centrale, la France en fait de même avec une base arrière au Maghreb et plus particulièrement au Maroc. Exemple, sur le port de Tanger, où des milliers de véhicules Dacia s’apprêtent à embarquer pour l’Europe de l’Est ou encore la Turquie. Un modèle financièrement abordable car produit à moindre coût – surtout de main d’oeuvre - dans la plus grande usine automobiles du continent africain. Et d’autres exemples ne manquent pas…
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Ces juifs français qui rejoignent Israël

En écho aux attentats de 2015, les départs des juifs de France ont augmenté de 10% l’an dernier, notamment vers Israël. Ils partent alors pour faire leur "Alya" dans un contexte devenu trop lourd pour eux : "La sécurité n'était plus à 100%", affirme ce père de famille. Mais quitter la France a été aussi très difficile. "On a grandi là-bas, c'est notre pays, c'est une culture qu'on aimerait aussi apprendre à nos enfants", exprime sa compagne. Comme eux, près de 8 000 juifs français ont choisi l'an dernier d'émigrer en Israël. La France y est désormais la nationalité la plus représentée chez les nouveaux immigrants.
Pour nous en parler, l’invitée de ce magazine est Oissila Saaïdia, professeur d’histoire contemporaine à l’Université Lyon II qui participe aussi aux rencontres des "Rendez-vous de l’Histoire du monde arabe" de l’Institut du monde arabe et dont le thème est cette année : "Religions et Pouvoirs".

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Dans les coulisses du festival de Cannes 2016

Sur la Croisette, il y a évidemment le fameux défilé de stars internationales. Mais ce festival c'est aussi un marché économique colossal. Et puis, ce sont aussi des fans, prêts à tout pour voir quelque chose, comme cette personne que l'on voit perchée dans un arbre. Sinon, il y a la technique de Jo Mortelli, qui s'installe en face des marches des heures avant le spectacle et garde des places pour ses amis.
Mais derrière le tapis rouge, il y a aussi le marché du film : 12 000 exposants sont venus du monde entier pour en acheter. L'enjeu est colossal : en 10 jours de festival, 800 millions d'euros seront générés dans ces négociations. Et à l'extérieur du palais, sur la Croisette, trois fois plus de monde qu'en temps normal profitent du bord de mer sous une surveillance policière renforcée. Et quand les regards ne sont pas tournés vers le tapis rouge, ils le sont vers les palaces. L'enjeu pour la presse, c'est de trouver la meilleure place pour faire les meilleures images. Et plus haut dans les étages, le personnel s'affaire à préparer les chambres…
A lire sur Culturebox, notre page spéciale consacrée aux Festival de Cannes

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