L'agence régionale de santé de Midi-Pyrénées vient de conclure que ce drame ne fait pas apparaître de carence particulière au niveau des structures médicales
Le 19 octobre dernier, une femme de 35 ans perdait son bébé prématuré, alors qu'elle se trouvait avec son compagnon à bord d'une voiture sur l'autoroute. Le couple avait pris la direction de la maternité de Brive, à plus d'une heure de son domicile.
Un rapport d'enquête avait été demandé par le président de la République. Pour sa part, la ministre de la santé, Marisol Touraine avait demandé à ce que que cette affaire ne soit pas "instrumentalisée". Le rapport est désormais terminé mais il ne sera pas publié par respect de la vie privée, indique l'Ars du Lot.
Dans son communiqué repris par l'AFP, l'agence indique que "le rapport du décés du nouveau-né au bord de l'autoroute A20 le 19 octobre dernier ne pas apparaître de problèmes en terme d'organisation de la prise en charge des parturientes ni de problèmes lié à la désertification médicale".
Selon le quotidien "Le Parisien", la mère "a refusé de mettre la perte de son enfant sur le manque d'infrastructures de soins et estimé que son gynécologue de Figeac qui la suivait depuis le début de sa grossesse n'avait commis aucune erreur."