Notamment pour Mathieu Fekl, le chef du Parti socialiste du Lot-et-Garonne qui s'est félicité de l'abandon par Jérôme Cahuzac de son projet de candidature à la législative partielle, une décision "qui s'imposait", alors que
celle-ci aurait pu entraîner l'élimination du PS dès le premier tour.
Le porte parole du PS en Lot-et-Garonne a déclaré ce matin
"Il y a une campagne à mener. La menace du FN n'est pas écartée"
Le reportage ce matin de Jean-Pierre Stahl et Bernard Hostein
Pour le Premier secrétaire du PS, Harlem Désir, Jérôme Cahuzac a "pris la bonne décision, conforme à ses engagements", en ne se représentant pas à la législative partielle dans sa circonscription du Lot-et-Garonne.
Le dirigeant socialiste "appelle maintenant toute la gauche à se rassembler autour de Bernard Barral (le candidat du PS, ndlr) pour pouvoir garder cette circonscription à gauche".
"Comme dans toute élection partielle, il y a un enjeu de participation, et il faut éviter la dispersion", a-t-il souligné. "La campagne peut maintenant se mener sur les vrais enjeux: quel candidat et quelle politique", s'est-il félicité.