Cette enquête publique avait été ouverte du 23 septembre au 24 octobre 2013 pour permettre à Areva d' ouvrir un centre de stockage de 200 000 m3 de déchets radioactifs dans une ancienne mine à ciel ouvert
Le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur sont désormais publiées. Celles-ci s'appuient notamment sur une étude hydrogéochimique réalisée par Areva et l'Ecole des Mines de Paris, selon laquelle "le stockage actuel des résidus miniers est stable de même que les concentrations de minerai à la sortie des exutoires c'est-à-dire avant la station de traitement des eaux".Le commissaire enquêteur demande "une complète transparence sur les sédiments qui arriveront sur le site." Et il conclut que l'étude d'impact "ne présente aucun risque sanitaire et environnemental".
Afin de minimiser le plus possible l'impact radiologique, "la couche finale de recouvrement" pourrait être mise en place progressivement, en fonction de l'avancement du stockage, et partiellement, sans la couche de terre végétale, chaque fin fin d'année, après la période d'exploitation annuelle d'octobre à décembre.