Elle n'est pas donnée à tout le monde la chance d'avoir une vue imprenable et gratuite sur la scène des Francofolies de La Rochelle. Chance ou pas, car certains se sont lassés avec le temps du bruit et des vibrations. 
► Retrouvez ici notre page spéciale réalisée à La Rochelle aujourd'hui

Il y a ceux qui apprécient d’avoir à porter d’yeux et d’oreilles des artistes renommés. Écouter et voir des concerts sans bouger de chez soi, en plein été.

Il y a ceux qui ferment tout, fenêtres et volets, voire qui désertent la vieille ville de La Rochelle, le temps que se dissipent décibels et vibrations. La sono est mise en route dès 10 heures le matin et ça se finit très tard dans la nuit.

Il ya aussi les nostalgiques qui ont apprécié le rendez-vous des Francos mais regrettent une certaine époque. Celle ou les artistes passaient la porte pour prendre un verre ou un repas, s’arrêter pour une photo ou un échange.

► Tous ceux-là, Sandrine Leclere, Marc Millet et Christophe Rio les ont rencontrés aujourd’hui à La Rochelle.

Un reportage de S. Leclere , M. Millet, C. Rio et N. Pagnoux-Tourret avec les interviews de riverains et de vacanciers qui ont vu sur la scène des Francofolies

 

Page spéciale Francofolies
dans le journal de 19h ce mercredi

Une page réalisée par les équipes de France 3 Poitou-Charentes présentes pour vous faire vivre les Francofolies pendant cinq jours. Dans la page de ce mercredi, en plus du reportage sur les voisins de la scène, il est question de l'opération Franco Juniors. A voir aussi l'interview de Gérard Pont, directeur du festival. 


► L'actualité du festival est suivre sur notre page Francofolies
 

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