Le leader mondial de la vision nocturne souhaite annualiser le temps de travail dans l’entreprise et demande à 50 de ses salariés d’opter pour une rupture conventionnelle de contrat.
Lors d’un comité d’entreprise extraordinaire jeudi 22 mars, la direction de Photonis Brive a annoncé aux représentants syndicaux qu’elle souhaitait remettre en cause l’accord sur les 35 heures pour annualiser le temps de travail. Depuis deux ans, le leader mondial de la vision nocturne connaît en effet d’importantes fluctuations d’activité.
Ruptures conventionnelles de contrat
Photonis va par ailleurs proposer des ruptures conventionnelles de contrat à une cinquantaine de salariés volontaires. Les modalités de départ devraient être fixées le 5 avril lors d’une nouvelle réunion extraordinaire du comité d’entreprise à 10h00.Cet après-midi, la direction est injoignable. En tout, 496 salariés travaillent sur le site en contrat à durée indéterminée.