Ce lundi, 26 des 44 salariés licenciés suite à la liquidation judiciaire de l'entreprise en 2016, demandent des dommages et intérêts devant le Conseil des Prud'hommes.

La salle des mariages de la mairie de Thouars a été transformée en salle d'audience pour le Conseil des Prud'hommes.
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Les salariés reprochent à la maison mère, le groupe Mecaseat, de ne pas avoir préserver les emplois. BRM Mobilier apparteanit au groupe financier belge MecaSeat via la SPCM.
"La loi n'a pas été respectée, il est fondamental que le droit puisse être appliqué dans son intégralité sans user de manoeuvres, il faut que tout le monde y compris les maisons mères, prennent leurs responsabilités face aux situations désastreuses que vivent les salariés" s'est insurgée ce matin, Sarah Djabri, l'avocate des salariés.
Le jugement sera rendu le 15 décembre.
Maître Sarah Djabri, avocate des ex-salariés de BRM Mobilier, invoque le droit au travail :