La remise en cause par le gouvernement de futures lignes à grande vitesse pour cause de rigueur budgétaire inquiète certains élus régionaux mais pas Alain Rodet
Le député-maire de Limoges a en effet indiqué qu’il avait eu un entretien avec le ministre des Transports dont il ressortait que le « barreau » Poitiers-Limoges ne serait pas concerné. Les restrictions envisagées par Jérôme Cahuzac, le ministre du budget, avaient pourtant laissé planer des inquiétudes à ce sujet.
Voici une interview d’Alain Rodet réalisée par François Clapeau jeudi après-midi lors d'une inauguration où le député-maire de Limoges fait une analyse très politique de ce dossier:
Le Grenelle de l’environnement, qui visait à favoriser le rail sur la route avait prévu la construction de 14 LGV supplémentaires d’ici à 2020 soit environ 2000 km ( voir la carte publiée par le Figaro). Mais seules quatre nouvelles lignes sont aujourd’hui financées et assurées d’être réalisées : la phase 2 du TGV entre Metz et Strasbourg, Le Mans-Rennes, Tours-Bordeaux et le contournement Nîmes-Montpellier.
Le Grenelle de l’environnement, qui visait à favoriser le rail sur la route avait prévu la construction de 14 LGV supplémentaires d’ici à 2020 soit environ 2000 km ( voir la carte publiée par le Figaro). Mais seules quatre nouvelles lignes sont aujourd’hui financées et assurées d’être réalisées : la phase 2 du TGV entre Metz et Strasbourg, Le Mans-Rennes, Tours-Bordeaux et le contournement Nîmes-Montpellier.
Selon l’AFP, l’incertitude plane notamment sur les deux prolongements au-delà de Bordeaux ( vers Toulouse et Hendaye), la ligne Paris-Orléans-Clermont, Marseille-Nice ou Lyon-Turin.