Surfaces trop petites, loyers trop élevés, les investisseurs, gérants et commerciaux désertent le centre ville.
A qui la faute ?
Les professionnels du secteur s’inquiètent des loyers demandés par les propriétaires, le prix du mètre carré dans l’hyper-centre est plus élevé que dans les diverses zones d’activités qui fleurissent à la périphérie de Limoges. Les surfaces disponibles ne permettent pas toujours de répondre aux cahiers des charges des enseignes nationales.
Une équation malheureuse aux funestes effets: les rues commerçantes comptent de moins en moins de commerces de proximité, un centre ville déserté par le chaland. Une capitale régionale qui tend à se vider de ses commerces, à perdre de l'activité, ce sont les symptomes d'une ville qui s’endort.
Voir le reportage d'Emmanuel Denanot et Anthony Borlot: