Le parquet a confirmé que les enquêteurs s'orientaient vers la piste d'un accident dans cette affaire. L'habitante du logement est décédée peu de temps après le drame.
Le parquet a donc confirmé que l'explosion survenue le 29 mars dernier, au 182 rue de Toulouse, pourrait bien être de cause accidentelle.
L'alerte avait été donnée à 2 h 23, après qu'une énorme explosion venait de retentir au sud de Limoges. Le souffle avait totalement détruit la partie supérieure du bâtiment et décollé la façade.
Une jeune femme de 21 ans, locataire du logement, grièvement blessée, avait été évacuée vers le CHU de Limoges en urgence absolue. Elle n'a malheureusement pas survécu.
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Après le drame, un dispositif de péril imminent avait été mis en place par la mairie de Limoges, pour sécuriser les lieux, car les débris s'effondraient sur la chaussée.
Selon nos informations, le passage des experts en assurances était programmé ce 9 juillet, pour envisager les suites à donner dans ce dossier. Une destruction complète de la maison n'est pas exclue à ce stade. Contacté, le propriétaire du logement n'a, pour l'heure, pas donné suite à nos sollicitations.
