Le député en marche de la 2e circonscription des Landes dit vouloir rester très proche des préoccupations locales pour "prendre les meilleures décisions possibles". Il prévient toutefois : "on peut être amené à prendre des décisions difficiles, c'est l'intérêt général qui doit l'emporter".
Lionel Causse a assisté aux deux journées d'intégration des députés de la République en Marche le week-end dernier à Paris. Et il est bien entendu à l'Assemblée Nationale ce matin, aux côtés des 307 autres députés LREM.C'est la toute première rentrée parlementaire de cet ancien conseiller bancaire à la Caisse d'Epargne, père de trois enfants.
"Il y a une discipline de groupe" nous dit-il, "même s'il y a de vrais débats". "Après, c'est l'intérêt général qui doit l'emporter et on doit être en capacité d'expliquer et de comprendre les raisons pour lesquelles on peut être amené à prendre des décisions un peu difficiles".
Elu maire de St-Martin-de-Seignanx en 2014, il a été l'un des premiers à rejoindre Emmanuel Macron dans sa campagne présidentielle. Déçu par le parti socialiste qu'il a quitté voilà plus de deux ans, jugé trop fermé et autoritaire, il s'est reconnu dans les idées d'ouverture du nouveau Président.
"Je vais mettre en place des ateliers, des rencontres régulières avec les acteurs de la 2e circonscription et les habitants" nous assure t-il, "pour préparer les lois et prendre les meilleures décisions possibles".
Lionel Causse compte rester conseiller municipal de sa commune en tant que membre très actif. A 46 ans, il revendique son appartenance à la société civile : "je sais ce que c'est de travailler dans une entreprise, de chercher du travail, de changer de travail, ".
Il devrait particulièrement s'attacher aux dossiers liés à l'économie, l'environnement, l'agriculture et l'alimentation, ses sujets de prédilection.
Lionel Causse, élu le 18 juin dernier avec 62,95% des suffrages, ouvrira sa permanence parlementaire d'ici quelques jours dans le centre-ville de Dax.
Regardez le reportage de Patrick Pannier et Laurent Montiel :
Le député en marche de la 2e circonscription des Landes dit vouloir rester très proche des préoccupations locales pour "prendre les meilleures décisions possibles". Il prévient toutefois : "on peut être amené à prendre des décisions difficiles, c'est l'intérêt général qui doit l'emporter". Notre équipe de F3 Dax, Patrick Pannier et Laurent Montiel l'ont rencontré.