Détectée lors de la visite décennale, la fuite radioactive a été colmatée, selon la direction de la centrale nucléaire. Il s'agissait de vapeur d'eau faiblement radioactive issue du circuit primaire dans le réacteur numéro un.
Qualifiée "d'aléa technique " par la direction de la centrale, la fuite d'eau faiblement radioactive du circuit primaire a été réparée et les opérations de contrôle décennal ont pu reprendre leur cours.
La vapeur d'eau s'était répandue en faible quantité dans un local technique vide. C'est un robot qui a procédé à l'aspiration et à l'évacuation de l'eau récoltée. Elle a été stockée, avant traitement, dans un réservoir spécifique. La direction précise qu'aucun intervenant n'a été blessé ni contaminé et que "l'événement n'a eu aucune incidence sur l'environnement ou la sûreté des installations."
Selon le service communication de la centrale, cette opération s'est déroulée sans encombres, mais "il est encore trop tôt pour se prononcer sur l'éventuel impact de cet aléa sur la durée de l'arrêt de maintenance de l'unité de production numéro un".
Si elle n'est pas affectée par cet incident, la réparation de la corrosion des installations sur le réacteur numéro un devrait durer jusqu'en janvier prochain, avec un recouplage au réseau éclectique prévu le 8 janvier. La deuxième tranche devrait, elle aussi, être recouplée au réseau en janvier.