De Freak à Get Lucky des Daft Punk, c’est une machine à tubes que le public de la Villette à découvert mardi soir. Découvrez l'ambiance survoltée qui régnait sur la scène, en fin de concert.
En 2013, Le Freak, reste toujours aussi « Chic » et ses riffs de guitare aussi entraînants. 37 ans après le tube qui lança la fusée Chic sur la planète Disco, Nile Rodgers, le guitariste légendaire du groupe a transformé la grande halle de la Villette en « Dance Floor » géant. Car au-delà des titres incontournables comme Good Times, I Want Your Love ou encore Dance Dance Dance qui ont fait se trémousser plusieurs générations en discothèque, Nile Rodgers est dépositaire d’un style unique et d’un groove hors pair. Hier soir, dans le cadre du festival de jazz de la Villette, le roi du funk a mis tout le monde d’accord en offrant au public une véritable communion musicale. Difficile de résister aux rythmes de sa musique, les bras levés et les pieds emballés, le public est même monté sur scène en nombre et c’est plutôt rare. Car si dans les veines de Nile Rodgers coule un flot continu de tubes planétaires, c’est avant tout pour partager sa musique avec le public que le guitariste écrit et compose. Et sa « set list » de concert est impressionnante, un véritable hit parade mondial : Like a Virgin (Madona) Notorious (Duran Duran) Spacer (Sheila) ou encore Lets Dance (David Bowie) sur les 20 titres joués en concert, tous sont des Tubes que le guitariste a composé. Récemment, c’est avec les Parisiens de Daft Punk qu’il s’est illustré, Get Lucky et son raz de marée mondial, c’est encore lui. Intarissable puits à musique, son talent intéresse également un autre parisien à la destinée planétaire. Nile Rodgers travaille actuellement avec David Guetta. L’année 2013/2014 sera Funky ou ne sera pas !
>> Découvrez un extrait du concert
>> En avant première découvrez le reportage diffusé ce vendredi soir à 19h dans Capitale Culture.
