Une "partie minoritaire du capital social de cette société de projet" pourra être ouverte à des tiers, indique encore le texte qui définit les modalités de réalisation de ce chantier estimé à 1,6 milliard d'euros.
La construction de cette liaison ferroviaire "ne donne lieu à aucune subvention de l'Etat", souligne un rapport accompagnant l'ordonnance. Et c'est bien là que résident les nouvelles incertitudes sur la réalisation de la liaison ferroviaire. Le montage financier du projet a immédiatement suscité une mise en garde du "gendarme du rail" français, l'Arafer. Le régulateur a en effet estimé que c'est l'Etat, et non la SNCF, déja très endettée, qui devrait abonder le capital de la société créée pour réaliser la liaison CDG-Express. Explications Bruno Lopez