Une enquête a été ouverte suite à l'asphyxie d'un détenu à la prison de Fleury-Mérogis, dans l'Essonne, dans la nuit de samedi à dimanche. Âgé de 41 ans, l'homme avait déjà mis le feu précédemment à sa cellule. "Rien, à ce stade, ne permet de conclure à un suicide", précise l'Administration.
"Rien, à ce stade, ne permet de conclure à un suicide." La Direction de l'administration pénitentiaire appelle à la prudence après la mort d'un détenu, à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, dans l'Essonne. L'homme est décédé par asphyxie après qu'il eut mis le feu à sa cellule, dans la nuit de samedi à dimanche.
Ce n'est pas la première fois que ce détenu de 41 ans, condamné pour des vols, incendiait sa cellule. Selon le parquet d'Evry, l'homme, qui devait sortir en février prochain, "souffrait de problèmes de comportement et suivait un traitement".