La Fédération française de rugby a signé vendredi le contrat constructeur de son projet de grand stade, sur le site de l'ancien hippodrome de Ris-Orangis. Ce stade de 82.000 places doit être doté d'un toit rétractable et d'une pelouse amovible. Une signature en présence de Manuel Valls.
Un projet à 600 millions d'euros... Le grand stade de rugby, dans le sud de la capitale, a fait un pas en avant vendredi, avec l'engagement de la Caisse des dépôts et consignations de financer le chantier, à hauteur d'un tiers, dans le cadre d'un contrat d'intérêt national. De quoi permettre le lancement des appels d'offres.
"Ce territoire affirme son potentiel, revendique des projets ambitieux porteurs de développement économique et créateur d'emploi", a indiqué le Premier ministre Manuel Valls, présent lors de la signature.
Un stade de 82.000 places
Le premier coup de pioche du futur grand stade de rugby est prévu en 2017. Il s'agit de faire sortir de terre une arêne de 82.000 places, dotée d'un toit rétractacle et d'une pelouse amovible. Sur 18 hectares, le stade doit accueillir ses premiers matchs en 2021.Reste à savoir si les dossiers seront respectés. Car la France est candidate à l'organisation de la coupe du monde de rugby en 2023.
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