Quels sont les principaux enjeux des législatives 2012 à Paris et en Ile-de-France ?
Focus sur les enjeux des législatives
Quels sont les principaux enjeux des législatives 2012 à Paris et en Ile-de-France ?
Les candidats aux législatives avaient jusqu'à vendredi 18h00 pour se faire connaître dans les préfectures. La liste officielle des 1298 candidats franciliens est maintenant bouclée.
Quels sont les principaux enjeux des législatives 2012 à Paris et en Ile-de-France ?
Rachida Dati a finalement jeté l’éponge c’est donc François Fillon qui est candidat, dans la 2e circonscription de Paris (Ve, parties des VIe et VIIe arrondissements), face au généticien Axel Kahn (PS).
A Paris, encore, dans la 6e circonscription, la nouvelle ministre du Logement et de l'Egalité des territoires Cécile Duflot (EELV) a toutes les chances d'être élue.
Ailleurs, la tâche s'annonce ardue pour l'opposition au vu des résultats de la présidentielle: C'est le cas pour Jean-François Copé à Meaux (Seine-et-Marne).
Comme à chaque fois, ces législatives comptent leur lot de dissidents. A l'UMP, Claude Guéant (Hauts-de-Seine) et Henri Guaino (Yvelines) sont aussi confrontés à des dissidences.
Vendredi, l'UMP a finalement décidé de ne présenter personne contre Jean-Christophe Fromantin, le maire divers droite de Neuilly (Hauts-de-Seine), ex-fief électoral de Nicolas Sarkozy. En revanche, le parti opposera dans l'Essonne un adversaire à l'ex-candidat souverainiste à la présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan, qui présente 320 partisans dans toute la France.
Consultez notre dossier sur les législatives en cliquant iciDepuis que les élections législatives se tiennent dans la foulée de la présidentielle (2002), les Français ont toujours confirmé leur premier vote en donnant au président élu une majorité pour appliquer sa politique. "Nous avons besoin d'une majorité large, stable, cohérente et solidaire (...) parce que la situation du pays l'exige", a déclaré vendredi à France Inter Jean-Marc Ayrault. La droite espère un retournement de tendance. "Le pays n'est pas traversé par une vague rose", a relevé François Fillon au vu de l'écart réduit entre MM. Hollande et Sarkozy le 6 mai.
Voir ci-dessus le sujet de Thomas Guery