Un an après les attentats du 13 novembre 2015, officiels et anonymes ont rendu hommage aux 130 victimes des attaques de Saint-Denis et de Paris. Chez les habitants de la capitale, l'émotion était palpable...

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Une simple rose blanche à la main, une bougie posée au sol... Les Parisiens ont rendu hommage dimanche aux victimes des attentats du 13 novembre 2015. A Paris ou Saint-Denis, une émotion et un recueillement partagés.
Devant le stade de France, porte D, Manuel Dias, un Portugais de 63 ans a perdu la vie, le 13 novembre. Le président de la République François Hollande est venu dévoiler une plaque, dans la matinée, en présence de la famille, des forces de sécurité et les secouristes intervenus ce soir d'horreur. Passé l'hommage officiel, les Dyonisiens aussi ont tenu à saluer la mémoire de l'unique victime de l'attaque à Saint-Denis.

"Une évidence"

Pour Magalie Tropnas, "c'était une évidence" d'être là, ce dimanche matin. Cette Dyonisienne insiste sur le message d'unité, et l'appel à lutter contre le terrorisme par "l'intelligence et la tolérance", lancé par Mickaël Dias, le fils de la victime de Saint-Denis, lors de la cérémonie.
Sur le boulevard Voltaire, Yoshihide Miwa est venu du Japon pour rendre hommage aux victimes du Bataclan. Il raconte que ce qu'il s'est passé le 13 novembre 2015 dans la capitale "a beaucoup marqué" dans son pays. C'est une rose blanche à la main qu'il s'apprête à rejoindre la salle de spectacles pour se recueillir.

Minute de silence et musique

Aux abords de la salle de spectacles du 11ème arrondissement, un périmètre hautement sécurisé a été mis en place. Mais les passants sont nombreux à se masser le long des barrières, et à se joindre à une minute de silence.
Pour Yann Marie, une rose à la main, l'important est de rappeler "un message de paix et d'apaisement". Enfin, c'est en musique que certains ont choisi de s'exprimer. De la guitare pour l'un, du piano pour un autre. Juste quelques notes pour briser ce silence d'un dimanche pluvieux.

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