Dans l'Hexagone, l'Île-de-France est la région la plus touchée par le VIH/Sida avec 2.500 personnes diagnostiquées séropositives chaque année. Mais depuis le début des années 2000, les chiffres baissent un peu.
Chaque année, 2.500 personnes sont diagnostiquées séropositives en Île-de-France la plaçant en tête des régions les plus touchées par l'épidémie (elles sont 6.400 dans l'Hexagone en 2017).Mais derrière ces chiffres de l'Observatoire Régional de Santé (ORS), les populations contaminées sont différentes. Les départements les plus concernés sont Paris et la Seine-Saint-Denis.
En 2019, on pourrait croire que le #VIH/#sida a disparu. Malgré les avancées, le virus du sida est toujours là. N’oublions pas de donner.
— Sidaction (@Sidaction) 2 avril 2019
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Des disparités selon les départements
En Seine-Saint-Denis (comme dans le Val d’Oise), ce sont essentiellement des personnes hétérosexuelles qui sont touchées sont touchées, principalement des personnes nées à l’étranger.En revanche, à Paris, ce sont surtout "des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH)".Lorsque l'on compare les chiffres entre 2004 et 2013, le constat est néanmoins optimiste. Au début des années 2000, il y avait 10 personnes par jour qui découvraient leur séropositivité, alors que 10 ans plus tard, ils n'étaient plus que 7 par jour.
Autre chiffre positif : parmi les personnes dépistées positivement au VIH, ceux de 15-24 ans étaient un peu moins nombreux, passant de 11 à 9%.